Alain
Neyman
Les restaurants occupent une place primordiale dans la vie, ce sont des lieux de rencontre, de célébration, de partage, dont le rôle n'est pas uniquement alimentaire.
Il n'est pas de livre, de film sans une scène dans un restaurant, les oeuvres de fiction suivent la réalité ; il se passe toujours quelque chose dans les restaurants... en voici des extraits.
Lesrestos.com est un guide Mange In France.
Dans le Triangle d'Or, le nouveau restaurant de cuisine italienne Mamamia du groupe Yeeels remplace leur restaurant Jacopo. Le journaliste Jacky Durand a annoncé et publié le 30 septembre 2021 dans le journal Libération avoir déniché le premier chef italien virtuel Giovanni du restaurant Mamamia, un "chef avatar" dont le groupe Yeeels déclare que «aucune spécialité ne lui échappe, il vous transportera du long de la côte amalfitaine, à la Piazza del Duomo, de Bologne à Firenze ! Il saura faire résonner toute l’Italie dans l’assiette» et aussi «Certaines recettes sont un peu avant-gardistes. On est en cours de rodage. L’intérêt est de pouvoir amener des générations à toucher du doigt l’intelligence artificielle, le virtuel, le numérique.» C'est un pari «technologie et cuisine ambitieuse». Le succès est assuré.
Toute ressemblance de nom, ou risque de confusion, avec les trattorias de cuisine italienne de Big Mamma group (East Mamma, Ober Mamma, Mamma Primi, Pink Mamma.. ) ne serait que pure coïncidence.
Mamamia - 5bis, rue Vernet - 75008 Paris
Alexis Billoux, ancien Chef étoilé, lorsqu’il était installé à Dijon, filleul de Bernard Loiseau, et fin amateur de rugby, vient d’ouvrir Le Comptoir Bourguignon avec une cave à vins impressionnante et une véritable envie de partager sa cuisine bourguignonne, conviviale et familiale dans la ville de la gastronomie.
Le chef a longtemps travaillé avec son père, chef doublement étoilé, mais aussi auprès du MOF Jean-Marie Gauthier et du chef 3 étoiles Guy Savoy.
Selon la saison la carte annonce la Côte de boeuf charolaise pour plusieurs convives, la Charcuterie du Morvan de la maison Dussert, le Pâté croute de veau et volaille, le croque aux truffes, béchamel au Comté, roquette, les Cromesquis bourguignons, purée de pomme de terre, pickles, champignons, le Mont d’or chaud au vin jaune. Et pour le sucré, un Tiramisu pain d’épice cassis.
Ouvert du lundi au vendredi, de 12h à 13h30 et de 19h30 à 21h30.
Le Comptoir Bourguignon - 14, rue Royale - 69001 Lyon - tel 04 87 37 10 99
Voir le site Le Comptoir Bourguignon
Le samedi 6 novembre 2021, le chef étoilé Julien Allano, du Clair de Plume à Grignan recevra au sein de ses cuisines, Stéphane Buron MOF, et chef doublement étoilé au Guide Michelin du Chabichou à Courchevel, pour un voyage culinaire entre les Alpes et la Méditerranée, guidé par les inspirations de leurs souvenirs de recettes d'enfance.
Le Clair de la Plume - 2, place du Mail - 26230 Grignan
Après « Fruits » et « Opéra », le célèbre pâtissier Cédric Grolet annonce la sortie de son troisième livre « Fleurs » aux éditions Alain Ducasse. Il sera composé de plus de 80 recettes inédites imaginées autour de l’univers floral.
Sortie prévue le 4 novembre 2021.
Editons Alain Ducasse - 352 pages - Prix 45 euros.
Le Chef-restaurateur Philippe Baranes, créateur de concepts novateurs, agrandit son territoire culinaire de la rue Condorcet. Après Braisenville (2011) et Il Cuoco Galante (2017), il inaugure cette rentrée 2021 Amaro, son premier bar à cocktails et à manger, aux côtés de ses deux tables déjà prisées des gastronomes.
Passionné de culture italienne, il s’intéresse particulièrement ici à l’art de l’Aperitivo du Nord de l’Italie, où l’on déguste des vins, alcools et cocktails traditionnels accompagnés de petits en-cas. La célébration des amers est un parti pris de Philippe Baranes pour le végétal, la technicité et l’équilibre des préparations.
En créant Amaro, il sélectionne une diversité d’amers unique à Paris, des références les plus populaires aux pépites les plus pointues. La vision est ici d’interpréter les amers à travers une carte de cocktails exclusive, déclinée par puissance d’amertume; pour cela, il fait appel à la mixologue Julie Martin (ex Cravan). Mais aussi, de proposer une large palette d’accompagnements gourmands : les talents de la cheffe Sonia Ferrazziano, s’expriment pour délivrer ensemble une carte racée de ciccheti, tramezzini ou frittura, en adéquation parfaite avec les breuvages.
Avec son élégant décor, ouvert sur l’extérieur, comme une ode à Venise, Amaro nous invite à la dolce vita au cœur de Paris.
Ouvert du mardi au samedi de 18h à 2h.
Amaro - 38, rue Condorcet - 75009 Paris - Tél : 01 40 40 09 11
Laurent de Gourguff le patron du groupe Paris Society et Dominique Romano ont ouvert le restaurant Maison Russe à la fin octobre 2021.
Le célèbre restaurateur Albert Corre est à l'accueil dans le cadre mis en scène par la décoratrice Laleh Amir Assefi.
La cuisine est confiée au chef Julien Chicoisne qui annonce la pomme de terre au caviar, les oeufs de saumon crème citronnée, l'oeuf coque au caviar, l'omelette King Crabe, la pizzetta au caviar, le coulibiac de saumon au beurre blanc, le homard bleu et cesarecce, les linguine au caviar, et la volaille fermière rôtie au jus truffé et purée de pommes de terre.
Pour le dessert, le chef pâtissier Maxime Louis propose la Pavlova au chocolat noir ou myrtilles et marrons glacés.
Compter environ de 46 à 170 euros ; et d'avantage pour le caviar.
Service de 12h à 15h et de 19h à 23h30. Le Bar "Les Poupées Russes" est ouvert de 17h à 2h du matin.
Maison Russe - 59, avenue Raymond Poincaré - 75016 Paris
L'edito du 25 octobre 2021 par Valérie Toranian dans La Revue des Deux Mondes à propos de l'expansion de la présence de la viande halal dans nos assiettes :
" L'échange a lieu dans une boucherie halal à Drancy. Éric Zemmour a accepté d’aller « à la rencontre de la population » de sa ville natale, dans le cadre d’une nouvelle émission de CNEWS, « Face à la rue », animée par Marc Morandini.
Comme le polémiste, probable futur candidat à l’élection présidentielle de 2022, regrettait la disparition de boucheries non halal, l’animateur demanda au boucher s’il en existait encore dans la ville. Ce dernier répondit qu’il y avait bien « une boucherie française ».
« Mais ici c’est une boucherie quoi ?
– Une boucherie halal.
– Mais c’est une boucherie française ?
– Non halal, musulmane. »
De part et d’autre, l’échange a le mérite de la sincérité. Éric Zemmour ne cache pas sa déploration du grand remplacement des boucheries traditionnelles par des boucheries halal qui correspondent, selon lui, à l’adaptation du commerce à une nouvelle population.
Le boucher, reprenant la distinction islamiste de plus en plus prégnante dans ces banlieues du « eux » et du « nous », distingue clairement ce qui est « français » de ce qui est « musulman ». Il a probablement parlé sans réfléchir, sans mesurer la portée de son propos, en répondant à brûle-pourpoint. Peut-être ne pense-t-il pas réellement qu’une boucherie halal n’est pas une boucherie française. Il n’empêche, son « raccourci » en dit long sur la façon dont l’islam politique a imposé le halal comme nouvelle norme communautaire creusant visiblement le fossé entre « nous » les musulmans » et « eux » les Français…
Car Éric Zemmour a tort : l’explosion du marché du halal n’est pas la contrepartie naturelle d’une évolution de la population musulmane en France. Elle est la contrepartie d’une offensive idéologique islamiste au sein de cette population, certes en croissance, dont elle est l’une des vitrines les plus juteuses et les plus réussies.
Il est vrai qu’Éric Zemmour refuse de faire la distinction entre islam et islamisme, ce qui est regrettable, même si nul ne peut nier qu’il existe un lien entre les deux.
De même que les islamistes ont fait croire que l’islamophobie était un crime de racisme, de même ils sont parvenus à faire de la « halalisation » un marqueur de la « tradition » religieuse.
Comme le rappelle l’universitaire Florence Bergeaud-Blackler dans une enquête subversive parue en 2017, le marché halal n’est en aucune façon consubstantiel à l’islam. Né des intérêts convergents de l’industrie alimentaire et des fondamentalistes religieux après la révolution islamique iranienne de 1979, le marché halal est une invention récente. Avant les années 1970, l’espace alimentaire musulman était marqué par le seul interdit du porc. L’abattage rituel était surtout pratiqué lors des cérémonies. « Les boucheries islamiques se sont développées assez tardivement à la suite de la réislamisation des années 80 », rappelle l’anthropologue, chargée de recherche au CNRS. L’offre de halal correspond parfaitement à « la stratégie des groupes fondamentalistes qui voient bien que la clôture alimentaire peut aussi être une clôture communautaire ».
La Malaisie, devenue centre du halal mondial dans les années 1990, a ainsi élargi le périmètre du halal en travaillant à la publication, en 1997, des « directives halal » du Codex alimentarius, un organe qui codifie les normes alimentaires pour mieux les imposer dans le monde. Selon un « principe de pureté », seuls les aliments qui ne sont pas contaminés par des produits interdits (porc, alcool, protéines non issues d’un abattage selon la loi islamique) peuvent être halal. Cela exclut une grande partie des aliments industriels qui comportent des colorants, exhausteurs de goûts et additifs. Presque toute l’industrie alimentaire devient « halalisable ». On va désormais trouver de l’eau, des rouges à lèvres, des dentifrices halal, etc. Sans parler du tourisme halal et de la mode islamique. Les enjeux économiques sont colossaux. Le consommateur musulman est sommé de consommer halal sous peine d’être considéré comme un mauvais musulman par les leaders communautaristes identitaires.
Pari réussi. De même que les islamistes ont fait croire que l’islamophobie était un crime de racisme, de même ils sont parvenus à faire de la « halalisation » un marqueur de la « tradition » religieuse. En 2016, une étude de l’Institut Montaigne montrait que plus de 40 % des musulmans en France pensaient que « manger halal est l’un des cinq piliers de l’islam »… ce qui est inexact.
Les islamistes imposent un séparatisme des mœurs. C’est le but. Nous et eux. Eux et nous. Boucherie « française » versus boucherie musulmane.
L’escroquerie halal a triomphé.
Le halal est le triomphe du libéralisme économique appliqué au fondamentalisme et à ses normes prescriptives porteuses de business.
La sphère halal est devenue le premier marché de la viande en France.
Parce qu’il est trop compliqué et coûteux de conformer un abattoir aux normes islamiques tout en gardant une partie « traditionnelle », les abattoirs deviennent exclusivement halal. 100 % de la viande abattue en Île-de-France l’est selon la tradition halal (casher également mais la proportion est dérisoire), affirmait en 2012 un communiqué de la chambre d’agriculture d’Île-de-France. Les éleveurs qui ne veulent pas d’un tel traitement pour leur animal (la bête a les carotides tranchées et doit se vider de son sang, souvent en vingt minutes, ce qui occasionne une très longue souffrance) sont obligés d’aller chercher ailleurs un abattoir.
Mais la majorité fait avec. Le calcul est économique. Le consommateur n’y voit goutte. Ou s’en réjouit.
Ainsi, récemment, l’association chargée de gérer l’unique cafétéria de l’Institut d’études politiques de Grenoble, Cafet’en kit, s’est-elle félicitée sur les réseaux sociaux que la cafétéria ne serve plus que de la viande halal. Une façon « inclusive » d’associer les musulmans censés ne manger qu’halal ? Après protestation d’étudiants et début d’une pétition, l’association a battu en retraite affirmant que seule des considérations économiques avaient guidé son choix. Mais pour une cafétéria revendiquant (avec candeur ?) la « halalisation » de son commerce, combien d’espaces où le halal est parfaitement invisible et le consommateur ignorant de ce qu’il achète ?
La redevance sur le halal perçue par les tueurs rituels, tous affiliés à des organismes islamistes, est une manne. Le halal est le triomphe du libéralisme économique appliqué au fondamentalisme et à ses normes prescriptives porteuses de business.
Nos militants woke intersectionnels, qui font la promotion de la revendication identitaire islamiste comme réponse du dominé au dominant occidental capitaliste et impérialiste, acceptent, sans broncher, cet accouplement avec le diable. "
Emilie et Boris Bazan à la tête des restaurants Les Becs Parisiens ouvrent leur nouveau restaurant Chocho en Novembre 2021 en lieu et place de l'ancien restaurant "Le Bel Ordinaire" rive droite. La cuisine du restaurant Chocho est entre les mains du chef Thomas Chisholm qui a participé à la saison 12 de l'émission Top Chef sur M6.
Restaurant Chocho - 54, rue de Paradis - 75010 Paris
Lundi 13 septembre 2021, Virginie Dubois-Dhorne a été sacrée championne du monde des Fromagers. La reconnaissance d’un niveau exceptionnel de connaissance, de technique et de créativité. Le fruit également de 8 mois de travail de plus en plus acharné au fur et à mesure que le jour J approchait.
Virginie a réussi à s’imposer devant neuf talentueux finalistes venus des quatre coins du monde pour s’affronter lors d’un marathon de 9 épreuves mêlant théorie et pratique. Quizz, dégustation à l’aveugle, grand oral, découpe, préparation culinaire, association de goûts, sculpture à partir de fromages, dressage d’un petit et d’un grand plateau de fromage : toutes les facettes du métier de fromager étaient jugées pour départager ces champions.
La 1ère femme française à remporter le titre
Elle succède à Evert Schönhage, fromager d’Amsterdam, sacré en 2019 et devient la quatrième française à remporter cette récompense après Bernard Mure-Ravaud, Rodolphe Le Meunier et Fabien Degoulet, dernier français à avoir remporté le trophée en 2015.
La reconnaissance du travail artisanal de La Finarde
Le titre de Virginie Dubois est également la victoire de toute une petite entreprise. Après avoir fait ses premières armes de fromagère au Touquet, dans une crémerie ouverte en 2004, cette Arrageoise de 44 ans a racheté avec son mari, Jean-François Dubois, en 2006 la société de sa belle-mère. Arpentant les marchés, jusqu’aux très réputées et courues halles de Wazemmes, à Lille, le duo s’est ensuite mis en tête de développer une activité d’affinage dans les entrailles d’une poudrière de la citadelle d’Arras.
La Finarde dispose aujourd’hui de 200m2 de caves d’affinage (dont 100m2 en caves naturelles) en plein coeur de la citadelle d’Arras. Cela permet de proposer des affinages spécifiques sur différentes familles: pâtes pressées (Mimolette, Gouda...), croûtes lavées (Maroilles, Vieux Lille, Bergues), alpages et estives de garde (Pyrénées, Suisse...), croûtes fleuries sur paille (Brillat-Savarin...), chèvres fermiers secs ou confits (Chavignol, Selles-sur-Cher...) ou produits méditerranéens (Feta au tonneau...)
" Nous avons des relations directes, authentiques et durables avec chacun de nos partenaires. Nous travaillons avec plus 100 producteurs : 20 producteurs régionaux Haut-de-France ; 50 producteurs partout en France et 20 producteurs européens.
Tous les fromages sont remis en conditions d’affinage (200 m2 de caves et 6 ambiances différentes). Nous avons une cave pour chaque grande famille de fromages (chèvre, croûte fleurie, croûte lavée, pâte pressée...) et disposons de 3 caves naturelles qui apportent une singularité à nos fromages.
Notre atelier agréé de découpe et d’emballage nous permet de proposer des fromages sous tous les formats : de la petite portion à la meule entière. Nous accompagnons également tous nos clients sur les sélections de fromages, des affinages et leur apportons les meilleurs conseils pour qu’ils proposent l’offre la plus adaptée ".
Le chef Adrien Cachot est l'invité du Perchoir Ménilmontant pour une durée de trois mois. Dés à présent on peut découvrir la cuisine du finaliste de Top Chef saison 11 de M6, pendant les trois prochains mois. Disponible du lundi au vendredi à partir de 19h30 - Menu à 95 euros.
Adrien Cachot et Emie Wada ont tenu le restaurant Detour.
Le Perchoir Ménilmontant - 14, rue Crespin du Gast - 75011 Paris
Depuis ce 14 octobre 2021, Alexia Duchêne et Nina Métayer signent à quatre mains la nouvelle carte de la SCNF. Trois recettes célébrant le végétal et les produits de saison, pour une carte plus responsable, gourmande, innovante et engagée. À découvrir dans les trains TGV INOUI de l’hexagone.
Talents d’une nouvelle génération de Cheffes engagées et ultra-créatives, Alexia Duchêne et Nina Métayer partagent la philosophie de cette nouvelle offre : une carte simple aux saveurs franches et des produits issus du terroir français.
- Alexia Duchêne a imaginé deux plats végétariens mettant en valeur des légumes de saison : une « salade végétarienne d’épeautre au butternut, champignon, parmesan végétal et raisins » ; et un « toasté aux carottes mi-cuites, crème de noix, mascarpone, comté AOP et cornichons ». Et aussi un hachis-parmentier au canard confit, oignons, purée de pomme de terre et crumble de graines.
- Nina Métayer élabore un sablé brownie chocolat ainsi que plusieurs gâteaux de voyage.
Le restaurant Mamo sera remplacé en novembre 2021 par le restaurant Monsù Francesco. Le restaurant Mamo avait ouvert ses portes à Paris le 9 juin 2016 pour remplacer le "Etc." de Christian Le Squer. En association avec Benjamin Patou le patron de Moma Group et Jean David Sarfati, le chef Peppino Mammoliti - dit Mamo - le patron antibois du restaurant "Michelangelo" avait investit Paris, après New York en 2011.
La carte du restaurant Monsù Francesco proposera les bonnes spécialités de la cuisine italienne.
Monsù Francesco - 2, rue La Pérouse - 75016 Paris
Le très élégant Jean-Luc Naret prends en charge la Direction de l'hôtel Lutétia à Paris et des établissements du groupe "Set Collection" appartenant à Alfred et Giorgi Akirov, avec leurs hôtels à Amsterdam, Londres et Jérusalem. Jean-Luc Naret est un expert de l'hôtellerie de luxe, il a travaillé pour Le Bristol à Paris, le Trianon Palace à Versailles, chez One & Only Reethi Rah aux Maldives, le Jumeirah à Dubaï, le Sandy Lane aux Barbades, et La Réserve à Paris pour le groupe de Michel Reybier.
Cerise sur le gâteau il a aussi été le Directeur des Guides Michelin pendant 8 ans.
Voir le Portrait de Jean-Luc Naret par Fabien Nègre.
En plein coeur du quartier vivant entre la place de la République et le Canal Saint-Martin, le restaurant Martin est doté d’une grande terrasse végétalisée. Du petit-déjeuner gourmand aux cocktails bien secoués le soir, le bar et restaurant Martin est un lieu qui vit tout au long de la journée.
La cuisine est élaborée à partir de produits locaux et de saison par le chef Emmanuel De Oliveira, son menu mise sur des propositions fraîches et gourmandes, comme un velouté de petits pois en entrée et un pavé de cabillaud, aubergine rôtie et aïoli en plat. Le samedi et le dimanche sont consacré au brunch et ses bons classiques.
L’après-midi on vient au tea time pour la carte alléchante de pâtisseries de la talentueuse cheffe de Yuyu’s Cake qui propose des tartes aux fruits de saison, ainsi que des gourmandises comme des madeleines et un cookie taille XL.
Aux manettes du bar, le mixologue Antoine Perro signe une carte de cocktails sous le signe de la fraîcheur.
Grande terrasse de 300 m2.
Restaurant Martin - 40bis, rue René Boulanger - 75010 Paris - tel 01 71 18 38 88
Découvrez la nouvelle version du Comptoir Général : dépaysement, déconnexion, lâcher-prise.
- Restaurant de poisson du chef Thomas Hue : Rillettes de sardine fraîche, tartare de lieu jaune, bouillon d’algues, carpaccio de Saint-Jacques et poulpe, filet d’Omble Chevalier ou de Saint-Pierre, crabe cake, quenelle de Brochet. Pour terminer, le baba au rhum.
- Bar à rhum : Fidèle à sa soif d’exotisme, le Comptoir Général garde le cap mais muscle son jeu en revendiquant un retour aux cocktails classiques réalisés dans les règles de l’art des bars d’hôtel, et un sourcing exigeant.
- Une épicerie à emporter : Pour faire écho aux assiettes du Chef, pour prolonger le dépaysement hors les murs, le Comptoir Général s’encanaille d’une annexe «à emporter» aux allures de maison troglodyte.
- Un nouveau paysage musical : Après des années de folklore festif, La Comptoir Général se laisse gagner par l’envie de recueillir les confidences, les babillages joyeux et les soirées à refaire le monde.
- Déconnexion : Pour susciter l’échange et retrouver la convivialité, Le Comptoir Général prie désormais ses clients de ne pas utiliser leurs appareils électroniques dans les salles principales, mais dans de nouveaux espaces prévus à cet effet. Pour cela un lobby d’hôtel a été spécialement aménagé: moquette épaisse, sofa et magazines, on y téléphone, déambule, et on y demande des informations à la réception. Une galerie également, où tout en téléphonant on peut admirer de curieuses collections sous vitrines.
Ouvert du mercred au dimanche, midi et soir. Brunch samedi et dimanche de 11h à 14h30.
Le Comptoir Général - 84, quai de Jemmapes - 75010 Paris
Le Chef Yoni Saada a ouvert le restaurant Phenice, dans l’Hôtel de Nell, le premier établissement 5 étoiles du 9e arrondissement de Paris, détenu par son fondateur Jacques Konckier et sa fille Lisa, de nouveau ouvert depuis le début septembre 2021. Le restaurant Phenice reçoit les clients depuis la fin septembre et propose la cuisine méditerranéenne du chef Yoni Saada.
Phenice Hôtel de Nell - 7, rue du Conservatoire - 75009 Paris - tel 01 44 83 83 60
En Octobre 2021, le restaurant Market fête ses 20 ans à Paris, une bonne occasion pour découvrir ou redécouvrir ce lieu magique autour de la cuisine du Chef Jean Georges Vongerichten. Jean-Georges est une star aux Etats-Unis et en Asie, à la tête de 38 restaurants dans le monde.
Quand on aime on a toujours 20 ans !
Market - 15, avenue Matignon - 75008 Paris
Le journaliste Laurent Guez éditorialiste Gastronomie et Voyage du journal Les Echos Week-end distribue un "coup de griffe" à un restaurateur pour l'utilisation abusive et la pratique de faux avis trompeurs :
" La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a enquêté sur Bistrobis, une société de communication utilisée très particulière. Conclusion de ces investigations : entre avril 2017 et novembre 2018, Bistrobis a fait bénéficier aux établissements du groupe Dorr (Bar à Huîtres , Grand Bistro Breteuil, Grand Bistro Muette, Auberge du Moulin Vert, etc.) de faux avis élogieux de consommateurs, en particulier sur les plateformes de Google et de Tripadvisor. La DGCCRF a proposé à ce “prestataire” une transaction pénale de 30 000 € , qui l'a acceptée. Pardon pour ce plaidoyer pro domo, mais quand on vous dit qu’il vaut mieux vaut se fier aux critiques gastronomiques – ou à vos amis – qu’aux avis supposés des clients anonymes..."
Un lecteur du "Coup de griffe" réagit : " Bistrobis appartient à une mystérieuse holding du nom de WG HAROLD, elle même filiale d'une société dénommée NOVIGA. Et qui est le patron de cette fameuse société NOVIGA ? Gary Dorr."
Le chef Alban Chartron du restaurant Cèna est parti en septembre 2021. David Lanher et Laurent Plantier, les patrons ont fait le choix d'accueillir courant octobre 2021 le chef 2 étoiles Pascal Barbot et son associé Christophe Rohat pour tenir la cuisine puisque leur propre restaurant L'Astrance qui doit ouvrir rue de Longchamp dans l'ancien "Jamin" de Joël Robuchon est toujours en travaux qui devraient durer jusqu'en 2022.
Cèna - 23, rue Treilhard - 75008 Paris
Le lauréat de l'émission Top Chef 2021 sur M6, le chef Mohamed Cheikh va s'instaler dans le Palace La Réserve Paris et tenir la cuisine du restaurant La Pagode de Cos, invité pour deux mois à partir du lundi 11 octobre 2021 par Jérôme Banctel le chef 2 étoiles de La Réserve Paris. Pendant tout l'été il a rempli le restaurant Les Belles Plantes du groupe Bertrand rebaptisé pour l'occasion Manzili.
il y a plus de 10 ans, Mohamed Cheikh a fait son premier stage en cuisine avec Jérôme Banctel.
Mohamed Cheikh à La Pagode de Cos du 11 octobre au 4 décembre 2021 :
- Ouverture des réservations le 4 octobre pour la période du 11 au 31 octobre
- Ouverture des réservations le 25 octobre pour la période du 1er au 28 novembre
- Ouverture des réservations le 22 novembre pour la période du 29 novembre au 4 décembre.
La Pagode de Cos - La Réserve Paris - Hotel and Spa - Ouvert 7 jours sur 7 de 8h à 22h
42, avenue Gabriel - 75008 Paris - tel 01 58 36 60 50
La Réserve - 42, avenue Gabriel - 75008 Paris
L'emblématique restaurant Drouant lance en octobre 2021 ses rendez-vous culturels innovants : à la manière d’un gentlemen’s club à la londonienne, la brasserie ouvre les portes de son propre cercle littéraire, artistique et philosophique. Un club arty qui donne accès à ses abonnés à des conférences mensuelles menées par les intellectuels, romanciers, artistes et autres philosophes du moment, sous les auspices du philosophe Gérard Lemarié.
Drouant propose deux offres d’abonnement annuel :
- Le Cercle Drouant : Une fois par mois, rencontrez l’invité spécial du Cercle lors d’une conférence, de 19h à 20h30, puis d’un cocktail jusqu’à 21h30. En plus des onze soirées, limitées à 60 places, vous disposerez de la possibilité de diner au restaurant pour un menu spécial à 55 euros. Abonnement individuel : 550 euros par an.
- Le Cercle Drouant Privilège : Profitez de la conférence et du cocktail durant les onze soirées, puis bénéficiez de l’opportunité de diner, dans le Salon Goncourt, avec l’invité du mois pour un menu spécial à 130 euros (places limitées à 12 personnes). Abonnement individuel : 1.000 euros par an.
Drouant - 18, place Gaillon - 75002 Paris
Monte-Carlo Société des Bains de Mer poursuit son « Festival des Etoilés Monte-Carlo » avec de nouveaux dîners 4 mains étoilés uniques dans son Resort monégasque entre septembre et novembre et le dîner de clôture le 27 novembre 2021.
Le 15 octobre, le Chef Alain Ducasse recevra le chef triplement étoilé Michel Guérard pour un déjeuner et un dîner unique au Louis XV-Alain Ducasse à l’Hôtel de Paris. Le dernier dîner 4 mains du festival associera le 5 novembre le Chef Marcel Ravin et le chef triplement étoilé Mauro Colagreco au Blue Bay, Monte-Carlo Bay Hotel & Resort. Fin en apothéose, le 27 novembre avec le dîner de clôture dans la Salle Médecin du Casino de Monte-Carlo avec tous les chefs étoilés du Resort SBM.
Soirée de clôture au Casino de Monte-Carlo : l’apogée du Festival des Etoilés Monte-Carlo le 27 novembre.
Monte-Carlo Société des Bains de Mer a placé 2021 sous le signe de la gastronomie et clôturera en apothéose cette année ainsi que le Festival des Etoilés Monte-Carlo par une soirée de gala au Casino de Monte-Carlo le 27 novembre. Dans la prestigieuse Salle Médecin, lieu emblématique du casino, se tiendra une grande soirée de clôture rassemblant les Chefs étoilés Monte-Carlo Société des Bains de Mer, une grande première dans l’histoire du Groupe.
Manon Fleury, Marcel Ravin, Franck Cerutti, Dominique Lory et Yannick Alléno réaliseront main dans la main à cette occasion un dîner, composé de leurs plats Signature. Un menu en 6 services pour un voyage dans la galaxie étoilée de Monte-Carlo Société des Bains de Mer, où les invités pourront assister aux coups d’envoi des plats directement dans la salle grâce à un « pass live ».
Un moment inouï dans une ambiance jazzy et soul avec la chanteuse Nicole Magolie accompagnée d’une formation en quartet (clavier, guitare basse, batterie) pour ravir une centaine de privilégiés. De nombreuses surprises attendent les convives pour cette expérience « Monte-Carlo » à 100%.
Le chef Matthieu Garrel du bistrot le Belisaire signe depuis la fin septembre 2021 la carte du restaurant de l'Hôtel Bowmann, le 99 Haussmann.
Le 99 Haussmann - 99, boulevard Haussmann - 75008 Paris
Le Belisaire - 2, rue Marmontel - 75015 Paris
Le chef deux étoiles Jean-François Piège ouvre le restaurant Mimosa ce vendredi 8 octobre 2021 dans le somptueux Hôtel de la Marine, place de la Concorde dans le bâtiment symétrique de l'Hôtel de Crillon où longtemps il a exercé son talent. Le restaurant Mimosa est une réalisation de Benjamin Patou de Moma Group. Ouvert tous les jours. The place to be.
Restaurant Mimosa - 2, place de la Concorde - 75008 Paris
Le chef Davy Tissot a remporté le Bocuse d'Or 2021. Le chef lyonnais MOF qui détient 1 étoile à Ecully dans le restaurant "Saisons", donne à la France le trophée qui nous avait échappé 8 ans de suite.
Le RESTAURANT PAUL est un charmant établissement qui propose une bonne cuisine bourgeoise dans un décor rétro et typiquement parisien, avec le souvenir de Montand et Signoret...
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