A Cambremer, au cœur du pays d’Auge, Le château des Bruyères abrite un hôtel de charme et un restaurant gastronomique. Cette élégante et discrète demeure en brique de style empire se dresse au milieu d’un parc de 10 hectares, entre chevaux et pommiers. ’est très exactement ici que Marcel Proust venait se reposer de l’animation de Cabourg, à 20 km de là. On dit même qu’il a entrepris la rédaction de « A l’ombre des jeunes filles en fleurs » dans l’une des chambres du premier étage.
Ce fut le Bellecour puis Les Ormes , c’est désormais Le Petit Bordelais de Philippe Pentecôte, pas peu fier d’être originaire du pays du cannelé. Au premier regard, on comprend que l’on prend place autour d’une table sage comme un quartier de ministères. Alors certes il n’y avait pas foule et à regarder les mines des clients, c’était à se demander si une loi sur l’interdiction de boire dans les restaurants n’était pas passée...
Il faut gravir deux marches pour visiter Le Petit Bordelais ouvert par le chef Philippe Pentecôte le 22 février 2008 en lieu de place des " Ormes " - le restaurant étoilé de Stéphane Mollé - dans une rue où les établissements abondent.
En prenant de l'âge et de l'importance, mais aussi de la sagesse, Charly de Bab el Oued est devenu tout naturellement La Maison de Charly puisque finalement c'est bien chez Charly que l'on vient
e chef Hervé Osaer a installé au début de l'été 2007 son restaurant Le Messager en lieu et place du "Bitrot de l'Arcade".
Dans une ambiance agréable et décontractée, le chef japonais Naoto Kitamura passé par les grandes maisons avant de s'installer chez lui réalise une cuisine du marché qui évolue selon les saisons et les arrivages. Chez Grannie , les entrées nous régalent avec le risotto aux écrevisses, la terrine de foie gras de canard, le sashimi de bonite façon tataki, ou le ris d'agneau meunière sauce gribiche.
Il convient de commencer par une précision : Paris ne compte plus qu’un seul Petit Marguery. L’autre, qui inspira un film éponyme réalisé par le fils de l’ancien propriétaire, avait fait les beaux jours de l’avenue Trudaine. Après sa cession, il s’était transformé en mauvais canular… Le Petit Marguery qui nous intéresse, aux Gobelins, est une institution. La famille Cousin en avait fait un temple de la cuisine bourgeoise. Pour beaucoup, c’était ici qu’il fallait, en saison, manger le gibier, en famille ou entre amis.
Voir l'article de mars 2017 sur LE NOUVEAU ROGER LA GRENOUILLE
Entrer Au Vieux Paris d'Arcole chez Odette et Georges c'est se trouver aussitôt en famille dans une grande demeure de province parfaitement entretenue, mais aussi faire un retour dans le passé, renouer avec une famille lointaine trop longtemps oubliée.
Dans le 10e arrondissement Thomas et Benjamin ont repris un vieux rade de quartier devenu LA BULLE. Ici, les volutes de fumée avaient jauni les mûrs pour des générations et le rouge lim semblait être considéré comme la boisson nationale. Un peu de lessive et ça repart. ...
On connaissait jusque là les restaurants à fromages ou à soufflés, les bars à soupes, les établissements où ne sont servis que des nouilles, des truffes ou des abats. On pouvait donc s’attendre à voir naître un jour des concepts autour de la betterave, du céleri-rave ou des bulots. C’est finalement dans le poulailler de Coco & Co qu’a été pondue l’idée la plus innovante du moment. La cuisine autour de l’œuf.
La très talentueuse chef Ghislaine Arabian fait sa rentrée parisienne dans un registre et un lieu inattendus ; depuis le début du mois de janvier 2008 elle loge chez Les Petites Sorcières un pimpant restaurant d'angle du quartier Montparnasse. Désormais c'est dans le style bistrot que s'exprime l'inspiration de la chef plusieurs fois étoilée.
Le jeune chef Olivier Jegousse a ouvert son O.J. Restaurant le 12 décembre 2007, en lieu et place du Village Kabyle, une institution du quartier. Le chef est passé par de Grandes Maisons étoilées, il a travaillé avec Jean Pierre Vigato, Ghislaine Arabian et chez Prunier avant de trouver cette rue Aimé Lavy.
Cet agréable Bistrot d'Alberto situé boulevard Pereire, à proximité de la place Pereire, abrite une excellente table de la gastronomie italienne. En reprenant l'affaire, Christophe Malard a poursuivi la tradition transalpine installée ici depuis longtemps, en offrant de beaux produits parfaitement traités. Les assiettes sont généreuses, les cuissons maîtrisées, les assaisonnements savoureux et les parfums... voluptueux.
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