Pour tous les goûts

L'idée de proposer aux clients une offre mono-produit surgit de temps en temps dans l'esprit de restaurateurs audacieux : truffe, risotto, caviar, soufflés, fondues... alors pourquoi pas des escalopes dans le restaurant L'ATELIER DE L'ESCALOPE ouvert mi septembre.

Sur la Seine, dans le bois de Boulogne face à l'hippodrome de Longchamp, ce beau GALION a été reprit en 2010 par François Brico et Daniela Lazic. La décoration intérieure est la garantie d'un dépaysement parfait dans une ambiance "pirates".

Depuis près de 20 ans, le restaurant chic WOO JUNG attire les amateurs de gastronomie coréenne qui tiennent la maison pour l'une des meilleures de Paris. L'établissement est entre les mains de la famille Cho dont le père est aux commandes de la cuisine pour appliquer les recettes et la tradition.

Ce restaurant à enseigne multiple est spécialisé dans la cuisine du Sud-Ouest CHEZ PAPA se présente comme L'Aubergiste du Sud-Ouest.

Dans un petit espace à la fois traiteur, épicerie fine et restaurant, les amateurs de beaux produits de la Botte se retrouvent autour de la longue table haute ou des tables face au comptoir. La carte de DA ZAVOLA fait quelques propositions d'ordre général qui peuvent se trouver disponibles - ou pas - le jour où vous venez.

Bien installé depuis plus de 20 ans dans le registre des tables cossues du 16ème arrondissement, BELLINI est un restaurant italien discret de bonne réputation.  

Le bar-restaurant a été ouvert le 21 janvier 2010 en lieu et place d'un café de quartier pour devenir le POINT BAR BATIGNOLLES. En cuisine, le chef Jonathan Capitaine propose une cuisine simple et de tradition, ouverte aux plats du terroir.

Le célèbre bistrot de la rue de Provence qui a vu défiler au déjeuner les cadres supérieurs des entreprises voisines et pour le dîner les touristes américains assidus, s'est installé fin Octobre 2002, dans les nouveaux habits de CHEZ CATHERINE dans un quartier chic.

En lieu et place du restaurant Oh Poivrier! en face à la Maison de la Radio depuis septembre 2009, le bistrot L'OGRE propose de bonnes préparations de viandes accompagnées de vins bien choisis et sélectionnés par Henry Bauche, Maxime Bauche et Nicolas Berengier, trois anciens cavistes.

Le restaurant de Fatéma Hal, une femme-chef méditerranéenne, qui se situe entre le traditionnel et le moderne est devenu une institution. On annonce au MANSOURIA une cuisine marocaine pleine de tradition et d'émotion dont la patronne est l'inspiratrice mais qui est aussi écrivain culinaire médiatisée.  

En novembre 2009, Julie Rivière - ex de La Toque Saint Germain, le Cofee Saint Germain et le City Zen Café - a pris la suite de tables plus ou moins éphémères qui ont succède ici à L'Auberge Landaise.L'accueil nature de la patronne et le service charmant distinguent Le 23 CLAUEZL comme une maison de tempérament.

Ce restaurant de cuisine italienne remplace depuis juillet 2009 le restaurant Sens - Compagnie des Comptoirs une ancienne "annexe" parisienne des frères Pourcel créée en octobre 2005. Si le nom de SENSO ne vous est pas inconnu, c'est parce qu'il fait penser à l'ancien restaurant de l'hôtel de La Tremoille.

Depuis la fin août 2009, ce sont LES ENFANTS TERRIBLES qui remplacent le Rue Balzac de Claude Bouillon associé à Johnny Halliday. Les patrons, Jocelyne et Jean-Louis Sibuet possèdent un groupe d'hôtels de luxe. Le chef François Martin propose des produits de qualité bien exécutés.

Au premier abord l'endroit ressemble à un café-bar-brasserie comme il y en a plein les rues de Paris. Alors il faut dépasser la première sale au long comptoir du PARIS BOHEME pour découvrir le restaurant, entièrement rénové, avec une salle qui donne sur un joli jardin-patio arboré avec fontaine et aquarium où l'on peut déguster en toute tranquillité, les plats d'une savoureuse cuisine classique bien mitonnée par le patron, un chef expérimenté qui est aussi un passionné de la pâtisserie.

Dans ce bar-restaurant-hôtel la clientèle des entreprises voisines se retrouve au déjeuner pour des repas d'affaires. C'est un lieu pour des habitués ravis de quitter quelques instants l'ambiance des bureaux et la présence des collègues. Et si l'on en retrouve à des tables voisines, la surprise semble aussi importante que de se croiser au bout du monde. On ne vient pas AU MOULIN JOLI pour faire un festin, mais pour respirer un autre air que celui des salles climatisées. Pour se libérer. La carte annonce des plats de tradition française.