Commentaires sur le restaurant Rival
Remplacé en février 2016 par "le 22."
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Dans ce quartier très fréquenté par une clientèle qui s'adonne aux joies du shopping, une halte à la mode, décorée par Jacques Garcia pour le restaurant de Philippe Vicq, de la galaxie Costes, où les club-sandwiches au pain complet côtoient les tartares variés et les spécialités des brasseries parisiennes tel le classique croque monsieur ou madame.
La cuisine traditionnelle française est agréablement servie avec le sourire.
Vous trouverez sur place la soupe à l'oignon gratinée, le gâteau de tomates confites et chèvre fondant, la mâche et blanc de volaille au curry, le foie gras de canard, le saumon fumé norvégien, le blanc de poulet doré minute accompagné de chutney, le filet grillé béarnaise, les petites ravioles au parmesan et en dessert le moelleux au chocolat, l'apple crumble, les glaces et sorbets ou la salade de fruits frais. Mais aussi des oeufs bio, nature ou au saumon.
À la carte de Rival comptez environ de 30Euro à 60Euro.
Ouvert tous les jours de 8h à 2h du matin.
La petite carte des vins propose quelques beaux produits dont un Pouilly fumé "de Ladoucette" et un Château La Tour Bellevue 2000 à prix doux.
Le bar présente une importante carte de cocktails ; à essayer, ils en valent la peine !
Les offres variées de cafés et de thés permettent de s'attarder dans le confort des fauteuils.
La décoration cosy est destinée à créér une ambiance conviviale et chic avec des petits fauteuils de cuir blanc, un sol noir et des tables basses. Attention aux marches et à la circulation exigue entre les tables.
Une agréable terrasse ouverte sur l'avenue pour les beaux jours et une autre plus discrète à l'angle de la rue Marbeuf et de la rue du Boccador.
Cependant ce bel ensemble peut se trouver perturbé par une sorte d'arbitraire directorial. J'explique : un établissement public qui annonce - en tout petit sur la carte - refuser les chèques et les cigares, pourquoi pas ! Là où le tyran directorial se révèle, c'est au coeur de l'après-midi, lorsqu'il entreprend de faire circuler un allumeur de havane sur la terrasse ouverte, coupable d'avoir enfreint la consigne maison. Le tyran est maître chez lui ; mais le fautif n'en revient pas d'avoir reçu ce sermon alors qu'autour de lui d'autres amateurs tiraient depuis longtemps déjà sur leurs puros. Puisque le patron a ses têtes et ses humeurs, au motif du non respect de l'égalité de traitement dû aux clients, ce bel endroit se voit décerner un Naze d'Or. Avec le sourire et sans rival !
George V
Restaurant cuisine Traditionnelle
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Dans ce quartier très fréquenté par une clientèle qui s'adonne aux joies du shopping, une halte à la mode, décorée par Jacques Garcia pour le restaurant de Philippe Vicq, de la galaxie Costes, où les club-sandwiches au pain complet côtoient les tartares variés et les spécialités des brasseries parisiennes tel le classique croque monsieur ou madame.
La cuisine traditionnelle française est agréablement servie avec le sourire.
Vous trouverez sur place la soupe à l'oignon gratinée, le gâteau de tomates confites et chèvre fondant, la mâche et blanc de volaille au curry, le foie gras de canard, le saumon fumé norvégien, le blanc de poulet doré minute accompagné de chutney, le filet grillé béarnaise, les petites ravioles au parmesan et en dessert le moelleux au chocolat, l'apple crumble, les glaces et sorbets ou la salade de fruits frais. Mais aussi des oeufs bio, nature ou au saumon.
À la carte de Rival comptez environ de 30Euro à 60Euro.
Ouvert tous les jours de 8h à 2h du matin.
La petite carte des vins propose quelques beaux produits dont un Pouilly fumé "de Ladoucette" et un Château La Tour Bellevue 2000 à prix doux.
Le bar présente une importante carte de cocktails ; à essayer, ils en valent la peine !
Les offres variées de cafés et de thés permettent de s'attarder dans le confort des fauteuils.
La décoration cosy est destinée à créér une ambiance conviviale et chic avec des petits fauteuils de cuir blanc, un sol noir et des tables basses. Attention aux marches et à la circulation exigue entre les tables.
Une agréable terrasse ouverte sur l'avenue pour les beaux jours et une autre plus discrète à l'angle de la rue Marbeuf et de la rue du Boccador.
Cependant ce bel ensemble peut se trouver perturbé par une sorte d'arbitraire directorial. J'explique : un établissement public qui annonce - en tout petit sur la carte - refuser les chèques et les cigares, pourquoi pas ! Là où le tyran directorial se révèle, c'est au coeur de l'après-midi, lorsqu'il entreprend de faire circuler un allumeur de havane sur la terrasse ouverte, coupable d'avoir enfreint la consigne maison. Le tyran est maître chez lui ; mais le fautif n'en revient pas d'avoir reçu ce sermon alors qu'autour de lui d'autres amateurs tiraient depuis longtemps déjà sur leurs puros. Puisque le patron a ses têtes et ses humeurs, au motif du non respect de l'égalité de traitement dû aux clients, ce bel endroit se voit décerner un Naze d'Or. Avec le sourire et sans rival !